1948 page 30
| |
Pendant deux ou trois jours, nous n'avions trouvé à cuire que de l'anamafaitra que nous adoucissions longtemps dans la marmite. Nous étions trop nombreux pour que cet aliment puisse suffire. Nous étions alors obligés de consommer les plantes suivantes: la racine du viha que nous frottons sur de la pierre rugueuse afin d'obtenir une sorte de koba [...]. L'ovitra qui donnait plus faim encore s'il n'était accompagné d'aucun autre aliment. [...] Les différents holatra que l'on trouvait sur les terres en jachère. |